lundi 26 février 2007

خطوات

يَنتَابني أحيانا حنين إلى ما سلف من شريط عمري القصير، أحن إلى تلك الأيّام التي عشت فيها الجمال والحزن، الحنان والغضب، العنف والرقة. لا أدري لم أتمتع بتذكرها رغم الاقتضاب والاحتقان اللذين يتمكنان مني عند العودة إلى ما فات وإلى ما لا يعود؟ قد تعود بي كلمة، مكان، موقف، حادثة، أي شيء إلى ما التقت به روحي في يوم من أيام وجودي على هذه الأرض. قد يؤلمني النظر إلى خطواتي التي تمحوها أمواج الزمن لكن لا يمكن أن أنسى أني واحد من ملايين الذين رسموا خطوات من قبلي والتفتوا إلى ما تركوا ورائهم وأكملوا بقية طريقهم. أعرف أني لن ألتفت ورائي لأنّي لن أجد خطواتي لأن الأمواج محتها، لكن لن أنسى أيضًا أنه في يوم من الأيام كنت سببًا في وجود خطوات على هذا الطريق.

samedi 24 février 2007

زيد اخزرلي.... برا ينعن

بوك و بو والديك...زايد و الله زايد...

كلب و تبقى طول عمرك كلب....

مازلت حي...

توا عندي نهارين ما هبطتش فيهم للقهوة... و هادايا الثالث...بيناتنا التعب عامل فيا و أموري ماهيش هيا.

البارح قلت برا نمشي للحمام منها نظافة ومنها ترتيحة...كلمت الطياب..(الدكتور ﭽلول) إلي تلها بيا الحقيقة و حيرلي مواجع في ساقي ....اللطف و برا.

اليوم قابلت المرا...شربنا قهيوتين عملنا دورة في الأسواق و روحت....لقيت روحي زبده..تغشيت و هاني خوكم قاعد نكتب و قريب نمشي نرقد.

إن شاء الله غدوا نتلاقاو و نحكيو مع 17h

.Palmira في


jeudi 22 février 2007

Jus ad bellum, bellum ad jus... (Right to fight, fight to right.)


السلع

والله شي يخجّج…

عمري ما جهلت كيما اليوم... الخراوات حاشاكم... هاك الكمشة بطالة الي قال شنوا يخدمو قيمين على مكتبة... نحكي على مكتبة كلية 9 افريل الي لزتني المموار باش نولي نمشيلها بما انو مكتبة المعهد متاعي ابن شرف فقري و ما تلقى فيها شي و ما تاخو منها شي و نظن على هاذاكا سماوها مكتبة الجاحظ خاطرالجو فيها و حكاياتو كيف كيف... كان الشحة و الميزيريا.

مكتبة 9 افريل حكاية اخرى... ساعة مالي نبدا داخل يلزمني

Autorisation


و من بعد يبدا تطييح القدر... و التهنتيل... و الكتاب هاذا اطلعلو الفوق و الكتاب لاخر اهبطلو اللوطة... اما هاذاكا.. ما ثماش منو و انتي لي غالط و شدني لا نطيح عليك نفسدلك وجهك.. و اسمع.. ما عندك الحق كان في زوز كتب.. و برا روح اخطانا..

الواحد من هالجميعة كي تكلمو على كتاب... تقولشي عفستلو على كلوتو.. والا ضربتو بحديدة على قصبتو.. يخزرلك خزرة مداونة.. و يمشي يفركس بين الكتب.. يعمل دورة و اثنين.. و يرجعلك يقلك هذا خارج... والا في

Réserve

والحقيقة هو ساعات ما يكذبش.. ساعات.. خاطر ثمة اساتذة عندهم الحصانة الادبية... ياخذو كتب و ما يرجعوش.

الحاصل بكلهم في هاك المكتبة... موجودين باش يهردوك في شوية القدر الي عندك.. ويفشخولك طرف نفحة... ربي وحدو يعلم منين دبرتها.

انا توا ماشي نرقد... اما موش باش نسكت.

lundi 12 février 2007

Ailleurs

Il était une fois un corbeau qui regarde toujours les pigeons qui volent en ciel, il les regarde avec beaucoup d'admiration, il pensait que les pigeons sont des êtres très beaux, pacifiques et tendres, d'ailleurs, il pensait que la couleur de leurs plumes reflète leurs intérieurs, la claireté, la nuance et la fraîcheur.

Il doute que ces pigeons ont quelque choses de mal ou de méchant, il aimait les pigeons.
il pense à lui aussi, il voyait que lui aussi est beau, rien à signaler pour ça, mais il se trouve qu'il a du manque à propos de la claireté ou la transparence, et regarde ses plumes mais elles ne refelettent pas ce qu'il y'a au ciel, les nuages, il manque de blanc dans son physique, il se sent mal quand il regarde le noir qui l'entoure, il se sent mal à l'aise, ce qu'il veux est que sa bonté reflète à l'extérieur de lui mais ce n’est pas possible si le bon dieu n’a pas voulu ça pour lui, alors il pense donc de sortir cette bonté ou ce coté animal doux à sa manière, en volant comme des pigeons, après tout, dit il, si les pigeons sont belles c'est parce qu’il volent bien aussi, mais il sens et il sait que ce n’est pas à lui de voler comme ça, il ne sais pas voler comme ça, il n’est pas lui.

Alors il décide d’observer les pigeons, peut être il peux en savoir plus si ils examinent leurs attitudes, donc il les suit une fois jusqu'à la place de la ville voisine pour voir comment elle peuvent avoir tout cet amour pour eux puisqu’elles sont élues « les oiseaux de la paix ».

En regardant de loin, il voit les gens donner aux pigeons quelques grains pour s’amuser avec eux et sentir leur humanité à travers les gestes qu’ils faisaient, on se penchant sur ces oiseaux et en souriant avec beaucoup de tendresse dans les yeux tandis que les pigeons s’approchent des humains on lui donnant l’impression de les comprendre ou de les remercier.

Le corbeau avait besoin d’avoir ce regard pour lui, il vit seul, il mange seul, il n’a pas à qui s’adresser quand il est déprimé, même quand il veux parler à lui, il ne peut pas, alors il prend le courage de s’approcher d’un groupe de pigeons, et il dit :

- « Bonjour anges du ciel porteurs de la paix, puis-je rejoindre votre groupe ? ».

- « Un corbeau dans un groupe de pigeons !! pourquoi ? » dit une d’elles.

- Répond le corbeaux en reflelettant sa joie : « J’admire beaucoup votre manière de vivre, j’aime votre vie, le regard des autres envers vous, j’aime bien savoir comment vous faites pour être si chanceux et populaires ??

- « On évite les corbeaux. » et c’est ainsi répond les pigeons en se moquant du pauvre corbeau.

Et à ce moment là, des battements de pieds très nerveuses et rapides s’approchent du groupe, on grognant l’oiseau noir et en lui collant des vulgaires mots tel que « maudit oiseau », « sale créature » ou « vilain parasite ».

Le corbeau est effrayé, et sous le choc des mots des pigeons et l’agitation qui accompagnait la scène, il ne savait pas quoi faire, il cherchait à comprendre ce qui c’est passé, il ne trouve pas la force de voler, il sens que ces ailes sont bloqués, sa volonté a était prise, et son amour au ciel s’éteint, et soudain, l’obscurité, il ne voyait rien, tout est noir, noir comme ses plumes, noir comme son bec, noir comme la peur qu’il sentait.

Le corbeau avait la trouille, et ne pouvait pas agir, il voulais sortir, il s’étouffait, il commence à crier il ne sentait plus la force de la chose qui le tient tellement qu’il est en panique puis le calme mais en écoutant des sons étranges. Et une autre fois il voyait la lumière de nouveaux, mais étrange moins claire que celle qu’il connaît, moins vive avec une odeur étrange à celle qu’il sentait dans son arbre où il placait son nid où de la nature qu’il vivait dedans. Il voyait un humain qui est en train de couper des légumes avec un outil très fin et brillant.

Le corbeau savait ce qui lui attend, c’est vrai qu’il n’est jamais passé par cette situation dans sa vie mais il savait. Il pensait à ce qu’il l'a emmené jusqu’ici et comment finissent les choses pour lui, il avait du chagrin de la peine et de la souffrance, son cœur est brisé, il ne voulais être détesté par ce qu’il aime, il aimait les gens, il aimait les gens, il aimait voir le bonheur à leurs yeux qu’il n'a jamais eu dans les siens.

L’humain approche du corbeau, il le tient de son cou on le mettant sur la table face à la fenêtre. Le corbeau observait à travers la fenêtre, il regarderait le soleil, il sentait ses rayons heurter sa tête, attiré par sa force, profitant de son face à face avec elle et en passant les yeux dans le vaste ciel qu’il volait avant, il la regardait avec un grand amour, et à ce moment là le corbeau souriait.

La lumière s’éteint, de nouveau obscurité, mais le corbeau était calme cette fois, en souriant au ciel et ne sentait plus la peur.

En effet, il s’envole de nouveau…ailleurs.

jeudi 8 février 2007


Il est temps pour écrire….

D’abord, je m’excuse pour le retard (que je vois impardonnable), mais dit-t-on, trop tard que jamais !

Bref, il était une fois, un jeune homme, mignon, poli, intelligent, brave, galant, léger (oui léger), respectable, respectueux, génie, compréhensif, aimable, ……..

Cette merde c’est moi. (wélli ma 3éjbouch yémchi yn…..)